Gouverner c’est prévoir, dit-on souvent pour dire qu’on ne peut espérer gérer les choses sans un minimum d’anticipation, de prospective et de projection, aux fins de suivre une feuille de route préétablie et de mettre en cohérence aussi bien la volonté d’agir que le désir d’atteindre des objectifs précis.
Si la gouvernance était un axiome qui allait de soi, toute personne qui s’y frotterait, s’y piquerait avec un succès certain. Force est cependant de constater que ne gouverne pas qui veut, mais qui en a les capacités.Lire la suite dans le magazine, p 6